Thommen-Furler AG propose un protocole complet au charbon actif pour les installations d’eau potable : organisation et mise en œuvre de l’élimination du charbon actif usagé, service de filtration, réintroduction et aide à la mise en service. Cependant, nous accompagnons également le client entre les phases de remplacement charbons actifs et vérifions régulièrement l’état de ceux-ci utilisés au moyen d’analyses de laboratoire.

Dans les usines existantes, les remplacements du charbon actif sont généralement faciles à planifier. Le charbon actif dans les réservoirs filtrants ou dans les filtres à charbon est remplacé par du nouveau charbon avant d’être complètement consommé. Aussi un « retraitement » du charbon actif consommé : la soi-disant réactivation est souvent possible. Nous pouvons toujours envoyer au client son propre charbon réactivé par séparation par lots, c’est-à-dire qu’il n’est pas mélangé avec des charbons actifs réactivés d’autres clients.

Etude de cas du système de filtre de l’usine d’eau de du lac de Murten  :
Un rapport de 2019 a montré que les substances issues de la dégradation du pesticide chlorotalonil (métabolites) peuvent être détectées dans l’eau potable. Récemment, le charbon actif de l’usine d’eau de mer de Murten a été renouvelé et l’eau potable a été analysée.

Jonas Probst, responsable de l’eau :
De nouveaux résultats de tests confirment aujourd’hui que le charbon actif est très bien adapté à la filtration de l’eau potable. Les métabolites peuvent également être considérablement réduits. À plusieurs reprises, nous avons de très bons résultats de tests. Grâce au charbon actif remplacé, il a été possible de se situer bien en dessous de la valeur limite actuelle pour les métabolites qui vaut 0,1 microgramme par litre ( μg/L ).

Source: www.ibmurten.ch/wissen/detail/wasseraufbereitung-mit-aktivkohle-zeigt-positive-effekte